O programa de governança da zona euro de François Fillon está muito próximo dos projetos de Wolfgang Schäuble e de Angela Merkel.
Merkel-Fillon ou la glaciation
économique de la zone euro
Par Romaric Godin | | 1922 mots
Le programme de gouvernance de la zone euro de François Fillon est très proche des projets de Wolfgang Schäuble et d'Angela Merkel. 2017 devrait, dans ce cas, préluder d'un retour des politiques perdantes des années 2010-2013.
A quoi ressemblera la gouvernance économique de la zone euro dans un an ? Politiquement, rien n'est évidemment encore certain. Mais, après ce week-end, on peut suggérer une hypothèse quant à ceux qui dirigeront les deux plus importants Etats membres de l'Union économique et monétaire. En Allemagne, la décision d'Angela Merkel de se représenter rend très probable son maintien au pouvoir après les élections de septembre 2017, même si la constitution d'une coalition pourrait être difficile. En France, l'hypothèse d'une victoire de François Fillon à l'élection présidentielle de mai 2017 doit désormais être prise très au sérieux. Ce duo Merkel-Fillon devrait donc prendre les rênes de la zone euro. Avec quels objectifs ?
A resistência aos problemas causados pela globalização e pelo livre comércio está a crescer nos países industrializados. Há dez anos, o mundo era um lugar muito diferente. Agora, em 2016, muitas pessoas nos países industrializados ocidentais estão preocupadas com a perda dos seus empregos, da sua prosperidade e da dos seus filhos. Vêm-se como os perdedores de um desenvolvimento que só tem ajudado a elite. O mundo encontra-se num ponto de viragem. Se, por outro lado, o protecionismo e o populismo ganharem vantagem, existe o perigo de que a prosperidade global se possa reduzir. A era da globalização estaria a chegar ao fim. Fonte: Spiegel Online
A Turning Point for GlobalizationInequality, Market Chaos and Angry Voters
Resistance is growing in industrialized countries to the problems caused by globalization and free trade. Populists like Donald Trump have promised relief by erecting new barriers to unhindered trade. But it is a dangerous path. By SPIEGEL Staff
Who could have imagined in 2006 that such an outlandish billionaire like Donald Trump could become president of the United States? Who would have believed that the British would leave the European Union? Who would have thought it possible that a right-wing populist party in Germany would win over 10 percent support in several state elections?
O sucesso de Donald Trump é o reflexo de uma crise da globalização. Ver também: Como o Google e o Facebook podem reformular as eleições A desigualdade de rendimento impulsionou o voto em Trump Victoire de Trump : un échec de la mondialisation financiarisée
Par Romaric Godin | | 1507 mots
Comme dans le cas du Brexit, ce sont les populations des régions désindustrialisées qui ont fait basculer l'élection présidentielle étasunienne.
Quatre mois et demi après le vote en faveur du Brexit, ce que les observateurs jugeaient largement « improbable » s'est encore produit. Donald Trump, milliardaire fantasque, ouvertement xénophobe et isolationniste, sera le prochain président des Etats-Unis d'Amérique et, partant, « l'homme le plus puissant du monde ». Comment en est-on arrivé là ? La réponse à cette question que le monde entier va se poser est en grande partie économique. Les victoires du Brexit et de Trump sont le produit à la fois d'un lent phénomène à l'œuvre depuis trois décennies, la mondialisation financière, et de sa crise, débutée en 2007.
Le succès de Donald Trump s'est appuyé sur un double mouvement : il a convaincu une grande partie de la classe moyenne dans des Etats où elle domine comme la Floride, mais aussi les populations des régions désindustrialisées de la Rust Belt de Pennsylvanie, du Michigan, de l'Ohio et du Wisconsin. En gagnant ces Etats qui étaient tombés aux mains des Démocrates en 2012, le milliardaire a fait pencher la balance de son côté. Le phénomène est exactement le même que le 23 juin au Royaume-Uni où le vote avait basculé en raison du vote des régions désindustrialisées du nord de l'Angleterre et du Pays de Galles. Or, ce mouvement peut s'expliquer par un échec d'une mondialisation couplée à une financiarisation avancée.
O sucesso de Donald Trump é o reflexo de uma crise da globalização. Ver também: Como o Google e o Facebook podem reformular as eleições A desigualdade de rendimento impulsionou o voto em Trump
Victoire de Trump : un échec de la mondialisation financiarisée
Par Romaric Godin | | 1507 mots
Comme dans le cas du Brexit, ce sont les populations des régions désindustrialisées qui ont fait basculer l'élection présidentielle étasunienne.
Quatre mois et demi après le vote en faveur du Brexit, ce que les observateurs jugeaient largement « improbable » s'est encore produit. Donald Trump, milliardaire fantasque, ouvertement xénophobe et isolationniste, sera le prochain président des Etats-Unis d'Amérique et, partant, « l'homme le plus puissant du monde ». Comment en est-on arrivé là ? La réponse à cette question que le monde entier va se poser est en grande partie économique. Les victoires du Brexit et de Trump sont le produit à la fois d'un lent phénomène à l'œuvre depuis trois décennies, la mondialisation financière, et de sa crise, débutée en 2007.
Le succès de Donald Trump s'est appuyé sur un double mouvement : il a convaincu une grande partie de la classe moyenne dans des Etats où elle domine comme la Floride, mais aussi les populations des régions désindustrialisées de la Rust Belt de Pennsylvanie, du Michigan, de l'Ohio et du Wisconsin. En gagnant ces Etats qui étaient tombés aux mains des Démocrates en 2012, le milliardaire a fait pencher la balance de son côté. Le phénomène est exactement le même que le 23 juin au Royaume-Uni où le vote avait basculé en raison du vote des régions désindustrialisées du nord de l'Angleterre et du Pays de Galles. Or, ce mouvement peut s'expliquer par un échec d'une mondialisation couplée à une financiarisation avancée.
O contratempo é sério para Theresa May: ao negar apenas ao governo o poder de desencadear o processo de saída da União Europeia (UE) forçando-o a entrar no Parlamento, o Tribunal Superior de Justiça de Londres impôs, na quinta-feira, 3 de Novembro, uma afronta grave à primeira-ministra britânica. Ver também: A Justiça impõe que o Parlamento britânico deve autorizar o Governo de Theresa May a iniciar o Brexit Brexit: o Reino-Unido promete à Nissan livre acesso ao mercado único Como o Reino Unido pode mitigar os efeitos de estar fora da União Aduaneira da UE O acordo pós-Brexit da Nissan pode levar a contas "colossais" para os contribuintes Empresas japonesas no Reino Unido "já recebem ofertas da UE" As regras da OMC significam que o divórcio entre o Reino Unido e a UE e o novo acordo comercial não são totalmente separáveis. Brexit : le Parlement conforté contre Theresa May par la Haute Cour de Londres L’arrêt dénie au gouvernement le pouvoir de déclencher seul l’article 50 du traité de Lisbonne. la première ministre britannique va faire appel devant la Cour suprême du Royaume-Uni.
LE MONDE | 03.11.2016 à 11h23 • Mis à jour le 04.11.2016 à 06h47 | Par Philippe Bernard (Londres, correspondant)
Le contretemps est sérieux pour Theresa May : en déniant au seul gouvernement le pouvoir de déclencher la procédure de sortie de l’Union européenne (UE) et en l’obligeant à saisir le Parlement, la Haute Cour de justice de Londres a infligé, jeudi 3 novembre, un sévère camouflet à la première ministre britannique.
La décision judiciaire risque d’affaiblir sa position dans les négociations avec les Vingt-Sept et de retarder le Brexit. Elle peut aussi relancer la bataille politique sur l’UE à laquelle le référendum du 23 juin était censé avoir mis un terme.
This Blueprint offers an in-depth analysis of inequalities of income and wealth in the EU, as well as their causes and consequences. How evenly are the benefits of growth distributed in our economies, and what does this mean for fairness and social mobility? How could and should policymakers react?
BY: ZSOLT DARVAS AND GUNTRAM B. WOLFF DATE: OCTOBER 27, 2016
Contrary to many perceptions, income inequality in the EU has fallen over the past two decades. In the EU as a whole, and in most EU members, absolute poverty is rare and income inequality is low. Strong welfare states have offered protection against inequality.
However, income inequality has in some cases increased, measured on a country-by-country basis. Unemployment remains high in a number of member states, while the intergenerational divide between the young and the old has widened. Social mobility is weak, in particular in the more unequal economies of southern Europe, limiting opportunities for the children of poor and disadvantaged families.
High inequality can fuel political disenchantment, and may have played a part in the Brexit vote. High inequality and poverty can boost protest votes in referenda and elections.
Technological change and robotisation will not necessarily increase inequality. However, many routine physical and cognitive tasks will be automated, and workers will need creative and social skills.
The link between education and income is weaker in Europe than the USA. In most EU countries, the “skills premium” associated with higher levels of education is falling. However, there is a strong link between family wealth and children’s educational attainment – especially in more unequal countries.
It is national governments, not the EU, who can plausibly act. Inclusive growth needs to be at the top of the policy agenda, but relevant powers in welfare and education are largely at national level.
Esta aplicação de transferência de dinheiro, gratuita para os particulares, retem o lado lúdico das redes sociais. A startup americana, que seduziu a Goldman Sachs e o fundo Accel, lança-se na Europa e em breve na China. Ela assegura as transações graças à tecnologia Blockchain. Circle Pay, é um pouco o PayPal que encontra o WhatsApp, uma app que associa pagamento móvel e a interação das redes sociais: podemos juntar fotos, emójis ou GIFs, imagens animadas e divertidas, enquanto enviamos alguns euros a um familiar ou como agradecimento pelo envio. Fonte: La Tribune Ver também: Os credores online procuram dar forma à Indústria antes que os reguladores o façam Os credores online seguem uma cartilha familiar em Washington quando o controlo do negócio aquece. Um elemento central da sua estratégia é provar que a indústria pode domar se a si própria, sem necessidade de intervenção adicional do governo. Ao distanciar-se dos credores do payday e de outras empresas cujas táticas predatórias têm atraído o fogo regulamentar, os credores online esperam evitar uma repressão similar. Por: Victoria Finkleoct Fonte: NewYorkTimes
Circle, le WhatsApp du paiement, débarque en Europe
Cette appli de transfert d’argent gratuit entre particuliers reprend le côté ludique des messageries sociales. La startup américaine, qui a séduit Goldman Sachs et le fonds Accel, se lance en Europe et bientôt en Chine. Elle sécurise les transactions grâce à la technologie Blockchain.
Ce n'est pas une énième application de paiement. Circle Pay, c'est un peu PayPal qui rencontre WhatsApp, une app associant paiement mobile et interactions des messageries sociales : on peut ajouter des photos, des émojis ou des GIF, ces images animées amusantes, en envoyant quelques euros à un proche, ou pour le remercier. La startup de Boston, fondée en 2013, a déjà levé 136 millions de dollars, auprès d'investisseurs prestigieux : les fonds de capital-risque Breyer Capital, Accel Partners et General Catalyst, les Chinois IDG Capital et Baidu ainsi que la banque Goldman Sachs. Son ambition n'est pas modeste : Circle Pay veut mettre « l'argent en mouvement », grâce aux technologies du mobile et de la Blockchain, comme elle le clame sur son site.
Os apoiantes de Trump argumentam que a retórica ditatorial de Trump é uma estratégia de vendas e que Trump é mais razoável e menos megalomaníaco do que soa. Mas dado o que poderia ser descrito como as "tendências ditatoriais" de Trump, vale a pena rever o modo como pelo menos um famoso ditador chegou ao poder e transformou uma democracia numa ditadura. Por: Henry Blodget Fonte: BusinessInsider
How Hitler went from fringe politician to dictator — and why it's a mistake to think it couldn't happen in the US
Adolf Hitler.Bundesarchiv
One reason many people find the prospect of a Donald Trump presidency scary is that Trump often sounds more like an authoritarian than a president.
Trump supporters argue that Trump's dictatorial rhetoric is a sales pitch and that Trump is more reasonable and less megalomaniacal than he sounds. They also point out that the United States has checks and balances that restrict the power of the president and make it difficult for a would-be dictator to seize absolute control.
But given what might be described as Trump's "dictatorial tendencies," it's worth reviewing how at least one famous dictator rose to power and transformed a democracy into a dictatorship.
A maior ameaça para o crescimento dos mercados emergentes nos próximos anos pode vir do aumento do populismo e isolacionismo nos países desenvolvidos, disse um funcionário do Banco Mundial na terça-feira. Se tal sentimento continua a proliferar nos Estados Unidos, na Europa e em outros lugares, terá um impacto negativo nos mecanismos comerciais e de transmissão nas economias de mercado emergentes, muitas das quais são fortemente dependentes das exportações, disse Axel Peuker, diretor para o aconselhamento financeiro e departamento de serviços bancários no Banco Mundial. ( Fonte: EurActiv)
World Bank: Populism in US, Europe threatens emerging markets
Home | Trade & Society | News
By EurActiv.com with AFP and Reuters
19/10/2016 (updated: 19/10/2016)
The biggest threat to emerging markets growth in coming years could come from the rise of populism and isolationism in developed countries, a World Bank official said on Tuesday (18 October).
If such sentiment continues to proliferate in the United States, Europe and elsewhere, it would negatively impact trade and transmission mechanisms in emerging market economies, many of which are heavily dependent on exports, said Axel Peuker, director for the financial advisory and banking department at the World Bank. And as developed market political leaders pull away from globalization it could catalyze similar sentiments from political leaders in emerging markets, he said, worsening poverty and income inequality.
“What role models will you find in developed markets as populism becomes more popular?” said Peuker during a global fixed income forum sponsored by ratings agency Standard & Poor’s.
The growing popularity of isolationist candidates in Germany and other European nations and threats by US Republican presidential candidate Donald Trump’s to scrap trade agreements with Mexico and impose trade tariffs on China have stoked fears.
O governo alemão anunciou uma restrição drástica do acesso dos nacionais europeus às ajudas sociais. Por: Romaric Godin Fonte: La Tribune
L'Allemagne veut combattre le "tourisme social" venant de l'UE
Par Romaric Godin | | Le gouvernement allemand a annoncé une restriction drastique de l'accès des ressortissants européens aux aides sociales. Une stratégie politique avant tout.Depuis ses lourdes défaites lors des élections régionales de septembre à Berlin et dans le Mecklembourg, Angela Merkel a clairement changé de ton sur la question de l'immigration. Son « mea culpa » le 19 septembre dernier, où elle reconnaissait avoir « commis des erreurs » dans la gestion de la crise migratoire annonçait un tournant politique pour regagner la confiance des électeurs conservateurs tentés par le vote en faveur du parti eurosceptique et xénophobe Alternative für Deutschland (AfD). Désormais, elle semble passer aux actes et envoyer des signaux clairs sur ce terrain. Loi restrictive
Codetermination in Germany – a role model for the UK and the US?
BY: BENNET BERGER ANThe idea of codetermination, i.e. the cooperation between management and workers in decision-making, has grown in popularity lately. We review the characteristics of codetermination in Germany and ask whether it could be a role model for the UK and the US.D ELENA VACCARINODATE: OCTOBER 13, 2016TAGS & TOPICS
Codetermination or “Mitbestimmung” – the German term for worker participation in a company’s decision making – has recently attracted attention as UK Prime Minister Theresa May and US presidential candidate Hillary Clinton promised to strengthen workers’ rights and interests. The latter has called for rewriting “the rules so more companies share profits with their employees”. Mrs May has repeatedly stated her intention to reform corporate governance such that workers and consumers are represented on boards, to “reform capitalism so it works for everyone – not just the privileged few.” Many commentators have interpreted the Brexit vote also as a rejection of the current globalized economic system from which “the rich are gaining at the expense of the poor” (see e.g. here). While codetermination does not only exist in Germany, several authors (see here and here) have wondered whether it could be a role model also for the UK and the US. This blog provides a short overview of the characteristics of codetermination in Germany and evidence from academic literature. What is codetermination?
Um acordo de livre comércio China-Reino Unido tem sido amplamente discutido desde o voto do Reino Unido para o Brexit. Muitos partidários do Brexit argumentam que a flexibilidade recuperada pelo Reino Unido permite-lhe fechar acordos comerciais com outros parceiros, e em especial com a China, que devido à sua dimensão económica, será uma vantagem fundamental. (...) Por: Alicia Garcia-Herrero e Jianwei Xu Fonte: Bruegel Ver também: Os brexiteers rígidos estão a fazer um erro de cálculo colossal Os brexiteers rígidos parecem acreditar que caberá à UE concordar com o comércio livre de tarifas, "porque é do seu interesse", mas estão a fazer um erro de cálculo colossal, escreve Michael Emerson. (...) Por: Michael Emerson Fonte: EurActiv, em 10 de Outubro de 2016 A lógica política do Hard Brexit (...) Uma quase revolucionária - e muito pouco Britânica - dinâmica tomou conta do país e, como a primeiro-ministro britânica Theresa May indicou no seu discurso "Little Englander" na conferência do Partido Conservador, este mês, o Reino Unido está a caminhar para um "Brexit duro." Esse resultado será contrário à opinião pública britânica, que permanece moderada sobre a questão de romper totalmente com a UE. (...) Por: Jacek Rostowski Fonte: Project-Syndicate Clamor no sector empresarial e financeiro ante o 'Brexit duro' apresentado por Londres Da City de Londres à Câmara Espanhola de Comercio, da Confederação da Industria Britânica (CBI) ao Consórcio de Retalhistas (BRC), do sector do automóvel ao da alimentação... O clamor contra o 'Brexit duro' ganhou uma força inusitada nos últimos dias após a viragem do Governo de Theresa May, que deixou aberta a porta para uma rutura total das relaciones comerciais com Bruxelas para poder controlar a imigração. (...) Carlos Fresneda Fonte: El Mundo
What consequences would a post-Brexit China-UK trade deal have for the EU?
A China-UK free trade agreement has been extensively discussed since the UK’s vote for Brexit. Many supporters of Brexit argue that the UK’s regained flexibility to strike trade deals with other partners, and in particular with China given its economic size, will be a key advantage. This analysis indicates that a China-UK FTA will be neither as easy nor as clearly advantageous as portrayed by Brexit supporters.
Brexit means that the United Kingdom could be able to run its own trade policy, which opens the door for the potential negotiation of a free trade agreement between the UK and China. Alicia Garcia-Herrero and Hianwei Xu show that a UK-China FTA will be neither easy nor clearly advantageous for the UK:
O Fundo monetário internacional (FMI) exprimiu na quarta-feira a sua inquietação sobre o estado de saúde dos bancos ocidentais e particularmente os europeus, no momento em que a situação do Deutsche Bank e dos bancos italianos e portugueses preocupam os mercados. Fonte: La Tribune Ver também: O FMI acredita que 25% dos bancos estão numa posição "débil" A combinação do baixo crescimento e dos baixos juros converteu-se numa tenaz que ameaça a banca mundial e, em particular, a da Europa. Essa é a opinião do Relatório Mundial sobre Estabilidade Financeira Por: Pablo Pardo Fonte: el Mundo Deutsche Bank apontado no aviso de estabilidade do FMI O Fundo Monetário Internacional não apontou o nome do Deutsche Bank quando lançou o aviso no seu relatório de estabilidade financeira de que os bancos com pouca liquidez na Europa e com modelos de negócio obsoletos representam uma ameaça para o sistema financeiro. Por: Landon Thomas Jr. Fonte: New York Times Uma guerra civil vai destruir a banca tradicional Estamos no início de uma guerra civil bancária que vai destruir a forma tradicional da banca. Mas vai produzir oportunidades muito reais para os investidores dispostos a pensar fora da caixa. Por: Nick O'Connor, Fonte: BusinessInsider Tornar o micro crédito mais eficaz Para as 2,5 mil milhões de pessoas que vivem com menos de 2 dólares por dia, choques como a doença, a perda de colheitas, as mortes de gado, as avarias nos equipamentos agrícolas e até mesmo as despesas de casamento ou de funeral podem ser suficientes para os derrubar, às suas famílias, ou mesmo a toda uma comunidade abaixo da linha de pobreza. Por: Dean Karlan, Rebecca Mann, Jake Kendall, Rohini Pande, Tavneet Suri e Jonathan Zinman Fonte: Harvard Business Review O revolucionário método de pagamento Stripe chega a Espanha Crescer, escalar e fazê-lo rápido. Essa é a obsessão de Silicon Valley. No caso dos irmãos Collison, John e Patrick, a historia é no entanto mais autêntica. Nascidos na Irlanda, estudaram em Boston. Um Verão deslocaram-se a Silicon Valley e nunca mais voltaram. Fundaram o Stripe um sistema de pagamentos online que facilita as transações na Internet. (...) Fonte: El Pais
UE apoia economia portuguesa com 300 milhões de EUR para financiar PME e 'Start-ups'
27/09/2016
O BEI - Banco Europeu de Investimento,contratualizou ontem com os bancos portugueses BPI, Caixa Geral de Depósitos, Millennium BCP e Banco Santander Totta, a concessão de quatro empréstimos no valor de 70 milhões de EUR cada, com o objetivo de operacionalizar o programa da União Europeia (UE) para a promoção do Emprego e das Start-ups em Portugal.
O projeto enquadra-se no pilar financeiro do Plano de Investimento para a Europa e, numa fase posterior, será complementado por um empréstimo adicional de 20 milhões de EUR. Werner Hoyer, Presidente do BEI, e Román Escolano, Vice-Presidente do BEI, participaram na cerimónia de assinatura, integrada nas comemorações dos 40 anos de atividade do Banco em Portugal. O BEI iniciou as suas operações no país em 1976 e, ao longo destas quatro décadas, concedeu empréstimos de montante superior a 45.000 milhões de EUR para apoiar projetos portugueses. Este empréstimo do BEI no montante total de 300 milhões de EUR irá financiar projetos realizados por PME e empresas mid-cap portuguesas que promovem a criação de Emprego. Destina‑se prioritariamente ao financiamento de start-ups e empresas que empreguem jovens e desempregados de longa duração, bem como empreendedores que criem o seu próprio emprego.
Estes empréstimos concedidos pelo BEI ao abrigo do Plano de Investimento para a Europa contribuirão para aumentar a capacidade de financiamento de alguns dos principais bancos portugueses, permitindo-lhes desbloquear investimentos a realizar pelas PME e empresas mid-cap para estas finalidades específicas. Os objetivos do financiamento estão alinhados com os programas e as prioridades nacionais nestes domínios.
Com as assinaturas de ontem, sobe para oito o número de projetos e acordos financeiros assinados em Portugal ao abrigo do Plano de Investimento para a Europa. O objetivo consiste em apoiar iniciativas que contribuam para a inovação e a criação de emprego no país.
O Presidente do BEI, Werner Hoyer, destaca a parceria de longa data existente entre Portugal e o BEI, afirmando que «esta excelente cooperação irá continuar no futuro. Ao longo dos últimos 40 anos, o Banco apoiou mais de 25 000 PME portuguesas e contribuiu para financiar as infraestruturas e a indústria do país. Hoje, estamos aqui para mostrar que o Grupo BEI está empenhado em apoiar a economia portuguesa.»
The industrial internet will transform policymaking The ‘internet of things’ will bring major changes in many areas of life, including the political arena. What will be the new communication tools, strategies and narratives for policymakers?
Any device with an on-and-off switch can (and should) be connected to the Internet. This is the basic idea of the industrial internet, also referred to as the ‘internet of things’. Forecasts indicate that around 6.4 billion connected devices will be in use worldwide by the end of 2016, up 30% from 2015. The total will reach 20.8 billion by 2020.
These figures show the scale of the technological change, but there is little agreement on the likely consequences. Arguments about the industrial internet mix fact and science with speculation and emotion. Some warn that we are witnessing the arrival of a darker world of surveillance, consumer lock-in, and violations of privacy and security. Others predict a revolutionary, fully-interconnected “smart” world of progress, efficiency and opportunity.
The hope is that, after years of economic crisis, the internet of things will boost production and bring huge benefits for consumers. To fulfil this promise, governments are gradually adopting new regulatory frameworks and policies on issues such as interoperability, privacy, security, data storage and spectrum and bandwidth.
Revisão do orçamento da UE garante uma maior flexibilidade e menos burocracia
14/09/2016
“O orçamento europeu é a prova viva da solidariedade financeira”, palavras do Presidente Juncker, no Discurso sobre o Estado da União 2016. Paralelamente ao discurso do Presidente Juncker, a Comissão Europeia apresentou hoje a sua Revisão Intercalar do Orçamento Plurianual da União Europeia 2014-2020.
Sem alterar os limites máximos de despesas acordados com o Parlamento Europeu e o Conselho, o pacote proposto permitirá libertar um montante adicional de 6,3 mil milhões de EUR de financiamento até 2020.
Estas verbas destinam-se a estimular a criação de Emprego, o Investimento e o Crescimento Económico e a abordar a questão da Migração e as suas causas profundas. Além disso, apresenta propostas para melhorar a elaboração do orçamento da UE e para dar uma resposta mais rápida a circunstâncias imprevistas, ao passo que as disposições financeiras serão simplificadas e orientadas para os resultados.
A Vice-Presidente da Comissão Europeia Kristalina Georgieva, responsável pelo Orçamento e pelos Recursos Humanos, afirmou: «Verifico com orgulho que o orçamento da UE nos permitiu cumprir prioridades políticas, garantir o emprego e o crescimento, bem como a segurança das pessoas na Europa e para além dela. No pacote relativo à revisão intercalar de hoje, propomos reforçar ainda mais estas prioridades, com 6,3 mil milhões de EUR e tornar a utilização do orçamento da UE mais simples e mais flexível. Esta revisão é apenas o começo - não o fim - do rumo para nos concentrarmos ainda mais nos resultados, assegurando que cada euro do orçamento da UE é utilizado da melhor forma possível.».
Tal como a City deve muito da sua atual prosperidade à integração europeia, as realidades brutais do Brexit irão fazê-la encolher, não prosperar. Isto é uma triste notícia, não apenas para a City mas para a economia do Reino Unido. Por: Nicolas Véron Fonte: Bruegel Ver também: Retirada da Grã-Bretanha vai provavelmente custar biliões à UE Numa cimeira em Bratislava, esta semana, a UE quer definir seu o rumo futuro, sem a Grã-Bretanha. Uma questão importante é suscetível de ser ignorada pelos líderes europeus: O fato de que o Brexit vai sair caro à Europa, principalmente à Alemanha.
he Brexit BillBritain's Departure Likely to Cost EU Billions
At a summit in Bratislava this week, the EU wants to set the course for its future without Britain. One important issue is likely to be ignored by European leaders: The fact that Brexit is going to be expensive for Europe, especially for Germany.
British Prime Minister Theresa May and German Chancellor Angela Merkel in Berlin
There are times when politics mirrors real life. Nobody knows that better than European Commission President Jean-Claude Juncker, a man who makes no secret of the fact that he has a wealth of experience, both privately and professionally.
That's why he has a very concrete idea for how the Europeans should act as Britain departs the European Union. "When your girlfriend leaves you, you shouldn't gaze after her forever," he recently quipped to a group of people close to him. "At some point, it's time to start looking around at other girls."The Commission chief's analogy, however, overlooks an important point: A relationship is easier to dissolve if the couple hasn't been married. When a decades-long marriage ends, though, the split can get very complicated indeed -- and sometimes it is extremely expensive for one of those involved.That also applies to the 40-plus year liaison between Britain and the EU. On June 23, a majority of British voted to end their membership in the European Union, a decision that was of global significance. The shockwaves that the British vote unleashed through European capitals and Brussels have anything but subsided.
Depois do referendo britânico, as conversações de François Hollande com os seus homólogos europeus concentraram-se na solidariedade europeia em matéria de defesa, um assunto por muito tempo bloqueado por Londres. Por: Adéla Denková, Aline Robert, Georgi Gotev, Jakub Šimkovic, Krzysztof Kokoszczynski Fonte: EurActiv
Avec le Brexit, la création d’une « armée européenne » est de plus en plus évoquée. Mais malgré les déclarations solennelles, les analystes n’y croient pas. Un article du réseauEurActiv.
Depuis le référendum britannique, les échanges de François Hollande avec ses homologues européens se sont concentrés sur la solidarité européenne en matière de défense, un sujet longtemps bloqué par Londres.
>> Lire : Hollande entame une tournée pour relancer l’Europe de la défense
Les responsables français estiment en effet que la coopération en matière de défense au niveau européen pourrait être facilitée par la décision des Britanniques de quitter l’UE. Une victoire de Donald Trump aux présidentielles américaines pourrait également donner du poids à cette idée, étant donné le scepticisme du candidat vis-à-vis de l’OTAN.
Les dirigeants européens se rencontreront à 27 à Bratislava pour décider de l’avenir de l’UE. Avant ce sommet informel, le président français a déclaré que l’UE devait « insister sur les aspects de défense et de sécurité ».
Europa após o Brexit: Uma proposta para uma parceria continental Após a decisão britânica de deixar a UE, a trajetória da Europa, e mesmo o seu destino, tornou-se novamente uma questão de escolha. Propomos uma nova forma de colaboração, uma parceria continental. A parceria continental proposta consistirá numa participação de bens, serviços, mobilidade de capital e alguma mobilidade no trabalho temporário, bem como num novo sistema de tomada de decisões inter-governamentais e na execução de regras comuns para proteger a homogeneidade do mercado integrado. Isto resulta numa Europa com um círculo interno, a UE, com uma integração profunda e política, e um círculo exterior com menos integração. A longo prazo, poderá também servir como uma visão para estruturar as relações com a Turquia, a Ucrânia e outros países. Por: Jean Pisani-Ferry, Norbert Rottgen, André Sapir, Paul Tucker e Guntram B. Wolff Fonte: Bruegel Ver também: O Medef está preocupado com as consequências do Brexit O impacto do Brexit preocupa os representantes do patronato francês. Que temem que esta travagem no projeto europeu faça cair o relançamento económico da UE. «De tanto andarmos em círculos dobre o futuro da Europa, vamos acabar por ser ultrapassados pemas grandes potencias emergentes» disse o PDG da Airbus, Fabrice Bréguer. (...) Por: Cécile Barbière Fonte: EurActiv O Reino-Unido não vai manter «um pé» na UE A primeira ministra britânica Theresa May declarou que a possibilidade de um segundo referendo ou qualquer outra tentativa para «manter um pé na UE» foi descartada. (...) Por: Matthew Tempest Fonte: EurActiv
A China está a construir novas estradas, ferrovias e oleodutos da Ásia Central para a Europa, num esforço para implementar novas conexões com o resto do mundo. Os resultados podem ser bons para os chineses - mas nem tanto para os outros países envolvidos. Por: Erich Follath Fonte: Spiegel On line
China Heads West: Beijing's New Silk Road to Europe
China is building new roads, railroads and pipelines from Central Asia to Europe in an effort to build new connections to the rest of the world. The results may be good for the Chinese -- but less so for the other countries involved.
In Kashgar, on the western edge of the Peoples' Republic of China, the view is reminiscent of the Bible and the days when the ancient Silk Road began to take shape here in the 1st century B.C. Today, the government plans to use Kashgar as the starting point for a new, global trade route -- but at this point, there is still little evidence of it.
"Posh, Posh," the men shout on their horse-drawn carts, as they make their way to the meadow where drivers are selling camels. Potential buyers expertly reach into the animals' mouths to examine their health. The air is dusty and filed with the sounds of animals neighing, braying and bleating, as if the horses, donkeys and goats know that they won't stay tied up for long. Women, only a few of them wearing veils, walk through the chaos carrying sacks of apricots and raisins.
E em política estrangeira, e particularmente a respeito dos nossos «vizinhos do Sul» mediterrâneo, os 28 Estados da União reproduziram os mesmos erros que em matéria de integração e de coordenação das políticas económicas e fiscais. E a política europeia de vizinhança não parece produzir reais progressos. O tempo da refundação chegou, estima Henry Marty-Gauquié. Para o diretor honorário do Banco europeu de investimento (BEI) e membro do Grupo de analise JFC Conseil, este novo começo deve apoiar-se na «única instituição que representa os povos: o Parlamento europeu». Por: Henry Marty-Gauquié; Fonte: La Tribune
O conselho de governo do Banco Central Europeu (BCE) não produziu surpresas e decidiu manter intactos as taxas de juro no mínimo histórico de 0%. Junto com o brexit, e a análise das suas consequências, um dos temas que chamou a atenção durante a ronda de imprensa foram as declarações efetuadas sobre a saúde do sistema bancário. Perguntado sobre o efeito da consulta britânica na banca, Mario Draghi reconheceu o impacto negativo que teve nos bancos ¿Os bancos mais prejudicados foram aqueles que tinham maior quantidade de empréstimos não bancários¿, assinalou. As palavras de Draghi de que o sector bancário pode necessitar de um apoio governamental para os empréstimos duvidosos provocou a forte subida da banca. Fonte: Cinco Dias
How many times have you walked out of a theoretically important meeting—a leadership offsite, a C-suite pow-wow, a sit-down with the board—thinking, That was a great discussion, but I’m not sure we really accomplished anything? More often than not, the problem lies not in what did or didn’t happen at the meeting itself. You didn’t get anything done because the goals for the meeting were never firmly established in the first place.
We see this happen all the time when clients hire us to help manage offsites. Often, they start by handing us a pretty well developed (and usually packed) agenda, full of already-booked speakers, and a finalized list of confirmed attendees. Beyond logistics, the actual substance of the offsite is nearly set. But then we always ask the meeting owner—the most senior executive hosting it—the same two questions: What do you want to have debated, decided, or discovered at the end of this session that you and the team haven’t already debated, decided, or discovered? What do you want attendees to say when their team members ask, “What happened at the big meeting?”
In almost every case, the response is the same: “That’s a good question—I hadn’t actually thought about those things.”
It doesn’t matter if it’s an eight-person board meeting, a 15-person executive team meeting, or a 150-person leadership conference—your first step when planning an important one-off or non-routine get-together should be to draft an initial set of goals based on the answers to the two questions above. In the words of Stephen Covey, “Begin with the end in mind.” These objectives are not the activities you will be engaged in or the time slots on the agenda. They are more high level: your desired outcomes for the offsite.
The list needn’t be very long or complicated. As a starting point, three-to-five short bullets or sentences that articulate what you want to accomplish is more than enough.
But this process may take some time. The meeting owner might go through two to three iterations before he or she has a straw-model set of objectives ready to be tested with other key meeting stakeholders, who should then be asked to review the list and identify any missing or unnecessary goals. Once everyone is aligned, agree and communicate to all other attendees that these objectives are locked in. This helps keep the agenda focused and gives the meeting owner cover if someone asks to add an unrelated presentation or discussion at the last minute.
Here are some example objectives from different types of meetings we’ve run recently:
Board meeting: Provide Board input as Management formulates the new five-year strategy Agree on how much runway remains on the current core strategy Identify new strategies to potentially pursue
Finalize the operating model for strategic governance Annual strategic planning process Long-term (five+ year) strategic oversight Agree on the topics and timing for additional Board input into the current planning cycle Executive team meeting: Develop a list of growth opportunities for the team to further assess Begin to define select growth opportunities, including the future state description for each and potential measures of success Confirm the accountable executive and team leader for each opportunity Understand the timeline and activities over the next three months
Leadership conference: Establish the purpose and positioning of the Extended Leadership Team Impart a meaningful understanding of the company’s vision, mission, and strategy, including top priorities for the next three years Understand priority issues surfaced by attendees and develop potential solutions Align around next steps
Your list of objectives must also drive important decisions about aspects of the meeting:
Agenda. Draft an agenda and map each activity to your stated goals. Do all of them help you achieve one or more of your objectives? Are there any objectives that can’t be achieved through what you have planned?
Attendees. The number and identity of attendees should be based on the scope and objectives of the meeting. For example, if you need to make decisions, we recommend a smaller group. If your aim is to generate ideas or achieve broad organizational buy-in for an initiative, you should invite a larger group. Pre-reads. Don’t overload people with voluminous meeting pre-reads full of assorted plans, reports and studies that aren’t directly related to your objectives. Instead use your list to organize, filter and focus the content you send in advance.
Location. The location of your meeting should reflect its objectives too. For example, if your goals focus on a specific region, go there. If an explicit objective is for participants to get to know each other better, make sure you pick a venue designed for socializing.
When you set out and share your objectives in this way, it ensures that everyone is “coming to the same meeting.” Attendees will be energized and ready to accomplish those goals.